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En 1941, alors que les forces de l'axe prennent de plus en plus de l'expansion et menacent autant en Europe, en Afrique et qu'en Méditerranée, les États-Unis d'Amérique, fort de leur doctrine isolationniste et de l'opinion publique réfractaire à s'impliquer encore dans un conflit mondial, demeurent prudents et passifs. Ce qui n'empêche pas le président Roosevelt et l'État-major, en secret, de préparer une éventuelle participation. Cependant, il ne fallait pas éveiller toute suspicion. Il faut dire que l'administration de Roosevelt, plus qu'hésitante jusque-là sur les orientations de sa politique étrangère et de sa stratégie militaire, n'en demeure pas moins soucieuse d'établir de solides appuis à la fois diplomatiques, militaires, économiques et commerciales après un passage très difficile à travers la crise économique majeure de la dernière décennie. Pour atteindre ses différents objectifs, quoi de mieux que de mettre en place un détachement naval furtif. C'est ainsi que voit le jour, en juin 1941, la force navale sous-marine The Black Hand. Cette flottille, déployée et stationnée en périphérie du détroit de Gibraltar, permettra ainsi toute latitude pour intervenir rapidement en cas de besoin. Autant en Atlantique qu'en Méditerranée si nécessaire. L'État-Major assigne le capitaine Bill Peters, secondé par Mikael Powell et Percy Samuel, pour diriger la flottille qui est stationnée à Casablanca. Au fil du temps, avec les entreprises fructueuses, l'État-Major assigne quelques destroyers et croiseurs pour compléter les effectifs en place et donner toute la marge de manoeuvre nécessaire à l'Amirauté dans ce secteur. C'est ainsi qu'en décembre 194x, la flottille en devient une hybride et surtout, redoutée... 

--------------------------------------------------HRP----------------------------------------------------- CULTURE ET PHILOSOPHIE Au sein de la Black Hand, la philosophie en est une de coopération. Le souci est bien sûr très présent de faire progresser individuellement tous les capitaines. Par contre, tout cela se fait aussi en fonction du développement et des intérêts de la flottille. Dans le groupe de la Black Hand, il n'y a pas de jeu en solo. Il y a bien sûr des discussions au sujet des orientations et des projets potentiels, mais en bout de ligne, si c'est nécessaire, c'est l'amirauté qui tranche. Ce qui est attendu, c'est que les capitaines fassent preuve de loyauté. L'ennemi ne fait pas de quartier et il faut réunir les conditions favorables pour vaincre ! Pour finir, ce qui importe le plus, c'est que DB est un jeu, alors il faut s'amuser ! Et à la Black Hand, c'est exactement ce qui se produit ! Les Axiens n'ont qu'à bien se tenir ! God bless America !